L'essentiel sur les oméga 3

TOUT SAVOIR SUR LES OMEGA 3 … SIMPLEMENT

  

Découvrir les oméga3, les bienfaits des oméga3 et comment choisir ses compléments alimentaires ; Un dossier complet, avec des dizaines d’études scientifiques

  • Découvrir les oméga3
  • Bons pour le coeur
  • oméga3 et cholestérol
  • Triglycérides
  • Bienfaits sur le cerveau et la dépression
  • Maladies inflammatoires, Ossature
  • Obésité , l'oméga3 en aide
  • Bénéfique pour les yeux
  • Bien dans sa peau
  • oméga3  et cancer 
  • Maladie de parkinson
  • Pour la masse musculaire 
  • Préservez vos intestins
  • Les raisons d'en consommer
  • Comment les choisir

 

DECOUVRIR LES OMEGA 3

 

Les oméga3, nous pourrions en écrire une encyclopédie ! Mais nous vous proposons de partager avec vous, l’essentiel.  Ainsi, nous allons  vous parler des lipides, puis des différents acides gras, puis nous vous parlerons des bienfaits des oméga3, et enfin, nous partagerons avec vous nos conseils pour  bien choisir vos compléments alimentaires. Lire le document de l'ANES concernant les oméga3

Il y a deux type de LIPIDES : Le cholestérol et les acides gras.

Le cholestérol est une molécule animale, absente des végétaux. Il est précurseur de nombreuses hormones (notamment pour la reproduction). Par son action sur la formation de la bile, il est  indispensable  à l’absorption des graisses alimentaires. Lorsque son taux est trop élevé, il est associé au risque d’infarctus du myocarde (occlusion d’une artère du cœur qui occasionne la mort d’une partie du muscle cardiaque).

Les acides gras sont indispensables : Ils  sont les carburants de nos muscles (75 % en moyenne)  et  en cas de surplus, ils sont stockés dans le tissu adipeux (graisse) (20 % en moyenne). Ils contribuent à nous défendre contre les agressions, notamment infectieuses.  Mais leur rôle le plus indispensable, est qu’ils  structurent toutes les membranes biologiques, alors que paradoxalement, seulement 5 % en moyenne des acides gras y sont utilisés.  Ils vont structurer les cellules (action sur la membrane cellulaire)  et certains servent aussi de messagers entre les tissus et les cellules.

Il existe 3 types d’acides gras :

 

 

ACIDES GRAS

 

 

PRINCIPALES SOURCES ALIMENTAIRES

 

Saturés

Produits animaux (viande, lait ,  beurre, Crème,   viande, charcuterie, fromage)

Huiles tropicales (palme,  coco)

Beurre de cacao, pâtisseries, viennoiseries

 

 

Mono insaturés

Huiles d’olive, de colza, d’arachide

Noisette, amande, pistache

Avocat

 

 

 

Poly insaturés

OMEGA 3

Poissons gras (sardines,  anchois, maquereaux, thon, saumon…) Huile de lin , de noix, soja,  de germe de blé

OMEGA 6

Huiles  de palme,de  tournesol, de maïs, de soja, de noix…

 

Les acides gras oméga3 et Oméga 6 sont donc tout simplement des graisses,  plus précisément des acides gras essentiels, "essentiel" étant  un terme  médical  qui veut dire «  indispensable à l’organisme ».

 

Notre corps ne sait pas  fabriquer les acides gras  oméga3 !

 

La seule source d’oméga3, c’est l’alimentation !  Et l’alimentation d’aujourd’hui, c’est le bien-être de demain ! En effet, Hippocrate  (médecin grec, la plus grande figure de l’histoire de la médecine) disait « la santé est dans nos assiettes »

ALA, DHA, EPA ? Qui sont-ils  ?

 

Il existe deux grandes familles d’oméga3 : une d’origine VEGETALE  (ALA) et l’autre ANIMALE  (DHA et EPA)

L’oméga3 VEGETAL, appelé ALA, acide alpha linolénique, est le chef de file des oméga3 . Il est indispensable à la santé humaine.On  trouve dans les certaines huiles, dans les noix, dans les graines de lin.  Mais il ne faut pas oublier que les huiles ou margarines riches en oméga3 ne supportent pas le chauffage intense, et encore moins la friture, à cause de cette oxydation rapide des oméga3. Mais l’ALA n’est pas suffisant à lui seul,  car si notre corps sait « théoriquement » transformer l’ALA en DHA et EPA, seulement 1 à 5 % sont réellement transformés.

 

Les deux autres oméga3 principaux et indispensables  sont  d’origine animale : l’EPA et le DHA , et  sont assimilables directement .

EPA : acide eicosapentaénoïque : principalement protecteur cardiovasculaire, assimilé directement

DHA : acide docosahéxaénoïque : principal acide gras du cerveau et protecteur au niveau de la rétine, assimilé directement

Le corps sait théoriquement transformer l’ALA en EPA et DHA, mais  dans la réalité, seulement 1 à 5 % sont réellement transformés. D’où l’importance de consommer de l’EPA et du DHA directement assimilables, qu’on ne  trouve que dans le monde animal,  et  notamment dans le poisson ;

Mais oui ! La nature est bien faite !  Le poisson mange le planton et les algues qui contiennent de l’ALA, ce précieux oméga3 végétal, et le poisson le transforme en DHA et EPA. Le poisson fait le travail de digestion à notre place. Mais, il faut privilégier les poissons gras, sardines ou anchois, mais aussi privilégier les poissons sauvages qui en contiennent beaucoup plus que les poissons d’élevage. Et ne pas oublier que les oméga3 s’oxydent à la cuisson, donc consommez du poisson cru, ou très peu cuit

L’ ANES confirme  que les poissons d’élevage que l’on retrouve sur les étals  contiennent  moins d’oméga3 que les poissons sauvages »  que « les huiles riches en oméga3 ne supportent pas la friture ou le chauffage intense… »

 

L’OMEGA 3 AGIT DIRECTEMENT SUR LA CELLULE

 

Absorbés par l’intestin, l’oméga3 agit directement sur la cellule, et la base de notre corps étant la cellule, vous comprenez son importance !

La concentration en acides gras oméga3 des membranes cellulaires, notamment cardiaques et cérébrales conditionne le bon fonctionnement de ces organes, la  résistance aux inflammations, et  à la prévention de maladies.

En effet, c’est au  niveau de la membrane cellulaire que l’oméga3 intervient, en la structurant et en la fluidifiant. Il assure la juste perméabilité de cette membrane, ce qui permet aux cellules de communiquer correctement entre elles ;  Cette juste perméabilité permet aussi aux nutriments de bien pénétrer la cellule,  de la nourrir, et aux déchets d’être correctement éliminés. Tout en protégeant le contenu de la cellule,  et oui, la cellule est à elle-même une entité vivante très complexe !

POURQUOI NOUS SOMMES, MAINTENANT,  DEFICIENTS EN OMEGA 3

 

Nos très grands ancêtres avaient cet équilibre ! En 100 000 avant J-C, ils mangeaient  du poisson crus,  des crustacés, donc du DHA et EPA directement assimilable. Et ils avaient suffisamment d’ALA par  les végétaux qu’ils consommaient,  crus également.

Après la seconde guerre mondiale, l’industrie alimentaire privilégie la quantité à la qualité, le ratio Oméga 6/ Oméga3 est de 10 à 1.  En l’an 2000 , catastrophe, le ratio est de 20 à 1 ! Et oui, il y a  20 Oméga 6 pour 1 oméga3 !

Et  c’est là tout le problème ! C’est que notre alimentation ne nous fournit que 30 % des apports nutritionnels conseillés en oméga3 (donnée ANES ... lire la suite...). La raison, très simple est que l’industrie alimentaire boude les oméga3,  car ils  s’oxydent beaucoup plus facilement que les Oméga 6. Il faut donc compléter les 2/3 des oméga3 qui manquent.

UN EQUILIBRE NECESSAIRE

 

Mais l’important pour notre santé, ce n’est pas la quantité  d‘oméga3 ou d’Oméga 6, c’est le ratio entre  le nombre d’oméga3 et d’Oméga 6

En effet, les oméga3 et les Oméga 6 utilisent tous les 2 les mêmes voies biologiques pour être assimilés; Or, s'il y a beaucoup trop d'Oméga 6, ceux-ci vont étouffer les bénéfices des oméga3.

Par exemple,  l'Oméga 6 crée une contraction de la taille des vaisseaux sanguins et en plus il favorise la coagulation du sang. S’il n’y avait que des Oméga 6, nous aurions des vaisseaux sanguins rétrécis, et des caillots en quantité  importante ;

L’oméga3, lui , permet la dilatation des vaisseaux sanguins et fluidifie le sang.  Mais s’il n’y avait que des oméga3, si on venait à se couper, on ne cicatriserait pas . Vous comprenez l’importance de l’équilibre entre les 2 !

 

LES RECOMMANDATIONS DE L’ANES : Dès  2003, ce déséquilibre a été reconnu de façon officielle par les autorités sanitaires :

 

« l’ANES  recommande la mise en place d’une politique visant à accroître le niveau des apports en acides oméga3 dans la population française » propos aussi tenus par l’OMS (organisation mondiale pur la Santé)

« les apports nutritionnels conseillés en acides gras oméga3 sont définis, à l’heure actuelle, pour l’homme adulte de 2 g /jour  et 1.6 g/jour pour la femme adulte.

lire le document officiel de l'ANES

lire l'extrait du document de l'OMS (organisation mondiale pour la santé) "Comment prévenir une crise cardiaque"

Source : www.anes.fr

 

QUEL EST LE RAPPORT IDEAL OMEGA 3 ET OMEGA 6 ?

 

Les Oméga 6 ne doivent jamais dépasser  de 4 fois le nombre d’oméga3 d’après la grande majorité des scientifiques. Certains recommandent  même deux Oméga 6 pour un oméga3.

 

LES BIENFAITS APPORTES PAR LES OMEGA 3

 

L’EFFET SUR LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES

 

Les analyses conduites à des époques et dans des régions variées ont montré, que plus les oméga3 sont  élevés, moins les maladies cardiovasculaires son fréquentes et sévères.

 

Un patient souffre d’insuffisance cardiaque, lorsque le cœur devient hypertrophié et n’assure plus suffisamment son rôle de pompe.

Les oméga3 agissent sur le taux de bon cholestérol et évitent la formation  de caillots dans le sang.  Ils facilitent la fluidification du sang. Ils diminuent la quantité de triglycérides, un type de lipides, qui en cas d’excès contribue aux maladies du cœur.

 

L’exemple des études scientifiques sur les Eskimos, les  Islandais et  les Japonais est flagrant : Ils ont en commun outre une faible mortalité cardiovasculaire, et des concentrations très élevées en acides gras oméga3 dans leurs membranes cellulaires. Plus les membranes contiennent des acides gras hautement insaturés et plus elles sont souples (fluides) Seuls les omégas 3 peuvent assurer cette fluidité.

Les oméga3 apportent 3 effets protecteurs :

  1. Un effet stabilisant sur l’activité électrique des cellules du cœur. Va permettre de diminuer le risque d’arythmie qui conduit à un arrêt cardiaque.
  2. Un effet sur le système nerveux végétatif : qui contrôle la variabilité du rythme cardiaque, soit la facilité du cœur à changer de rythme lors des émotions ou lors du sport, ce qui diminue le risque d’arythmie.
  3. Un effet « vaccin » contre la crise cardiaque (même après une première crise !)

 

De plus, si l’effet sur le muscle cardiaque est prouvé,  les acides gras oméga3 ont aussi  un effet bénéfique sur d’autres facteurs de risque « classiques » comme la pression artérielle ou  les triglycérides;  En effet, les études que l’ANES a mené  démontrent que la consommation d’acides gras oméga3 peut conduire à :

  • diminution de la pression artérielle chez les personnes présentant une hypertension artérielle
  • Une diminution de la quantité de triglycérides dans le sang , un type de lipides qui, en cas d’excès, contribue au développement de maladies du cœur
  • Une réduction de la morbidité et de la mortalité cardio-vasculaires

 

lire le document officiel de l'ANES

lire l'extrait du document de l'OMS (organisation mondiale pour la santé) "Comment prévenir une crise cardiaque"

Source : www.anes.fr

 

Pourquoi en est on si sûr  ?

Des essais cliniques entre 1984 et 2002, sur des populations britanniques, italienne, françaises, avec des grandes différences dans le mode de vie  l’on prouvé !

On peut donc conclure, vu que  35 % des décès , tous âges confondus,  survenant en France, sont concernés par ces maladies cardiovasculaires, que contrairement à la plus part des médicaments de prévention, l’effet des oméga3 sur l’espérance de vie est très intéressant !

 

CHOLESTEROL : OMEGA 3  ET/ OU MEDICAMENTS ?

Nous savons que le cholestérol est un des principaux responsables des risques cardio-vasculaires ; Généralement, les malades sont traités avec des statines. Mais pourquoi ne pas utiliser en plus les bienfaits des oméga3 ?

100 études ont été répertoriées par une équipe de chercheurs suisses, sur 140 000 patients, pour comparer les effets de différents médicaments (notamment les statines) et ceux des oméga3 sur le taux de cholestérol et la mortalité coronarienne. Bien entendu, pour éviter le risque d’effet placebo, 140 000 autres sujets témoins supplémentaires ont fait partie de ces études. Réssultat positif en faveur des oméga3 !

Les personnes qui prenaient des oméga3 ont vu leur risque diminuer de 23%. Alors que les patients traités par statines ont vu leur risque de décès diminuer de 13% seulement !. Concernant le risque de décès par maladie cardiaque, le risque diminuait de -32 % pour les personnes qui prenaient des oméga3, seulement de-22 % pour celles qui recevaient des statines.

 

Plusieurs clients ENVIE ont fait une prise de sang « avant » et « après 3 mois de consommation d’ oméga3, le résultat était positivement surprenant ; Ces personnes n’avaient pas changé leur mode de vie ou d’alimentation, ni leurs traitements médicamenteux. Les oméga3 ont été une aide réelle.

TRIGLYCERIDES

Un taux de triglycérides élevés représente un risque cardio-vasculaire. Les triglycérides  sont des graisses  circulant dans le sang. 21 études ont été recensées et ont démontré que la complémentation de 2 grammes en EPA et DHA agissait sur le taux de triglycérides sanguins.

 

Quelques exemples d'autres sources  scientifiques  sur l’effet des oméga3 sur les  maladies cardio-vasculaires  :

Etude DART  (Diet And  Reinfarction Trial) en 1989 au pays de Galle sur 2000 patients; Etude de LYON de1989 à 1999 sur  600 patients ayant subis un infarctus,  suivis pendant 5 ans; La société Américaine de Cardiologie utilise cette étude pour actualiser ses recommandations nutritionnelles officielles !Etude GISSI  (groupe italien pour l’étude de la survie après un infrarctus) 1999 à 2003 sur 11 000 patients !Etude des universités d’Athènes et Harvard sur 22 000 patients  en Grèce.L’Indian  Hear Trial en 1992 et L’Indo-Méditerranéean Diet  Trail en 2002  sur  1000 patients survivants d’un infarctus

 

LES EFFETS  SUR LE CERVEAU

 

 Des effets prouvés ? Le Dr Stephen CUNNANE  a expliqué que "le cerveau de l’homme ne se serait pas développé s’il n’avait pas consommé des oméga3"

 

Plus de 60 % de la masse du cerveau est constitué de lipides et plus de 70 % de ces lipides sont des acides gras oméga3 (le DHA est l’acide gras oméga3 du cerveau)

Les oméga3 : la nourriture du cerveau

 

Leur rôle est extrêmement important dans la plupart des fonctions cérébrales et en particulier dans l’équilibre de l’humeur : L’huile de poisson contient du DHA, un des acides gras oméga3, qui  fournit à tous les neurones du cerveau une véritable nourriture.

Comme les oméga3 permettent de fluidifier les membranes cellulaires :  la réception  ou l’expédition des signaux délivrés par les messagers chimiques (sérotonine, noradrénaline) , est améliorée ;  le message est clair et fort..

 

 Etude de Michel LAZDUNSKI à Nice : « Il est prouvé que les neurones résistent mieux au manque d’oxygène (lors d’un accident vasculaire cérébral par exemple) ou à d’autres agressions (médicaments, stress) quand leurs membranes sont enrichies en oméga3 ».

Dans le même registre, le déséquilibre Oméga 6 / oméga3 dans la maladie du siècle (la dépression) est impliqué, même simplement dans l’humeur ! Une belle alternative pour  diminuer l’épidémie de dépression annonce le Dr Servan Schreiber.

Le cerveau souffre dès que l’on manque d’oméga3, car les cellules nerveuses sont le siège d’une inflammation chronique qui provoque la destruction des messagers chimiques de la bonne humeur. On a constaté un manque cruel d’oméga3 chez les grands dépressifs et les suicidaires.

Les suppléments d’EPA et DHA améliorent les symptômes de la dépression

 

Lorsqu’on donne des suppléments d’huiles de poisson pendant huit semaines, en plus de leur traitement, à des personnes dépressives, on observe dans la plupart des cas une nette amélioration de leurs symptômes.

Une étude comparative pour teste l’effet placebo, a été faite  à 1 g, 2 g, et 4g par jour d’EPA, sur des malades dépressifs. Un groupe prenait des capsules d’huile d’olive, l’autre de l’EPA. Tous continuaient leurs traitements antidépresseurs. Seule la prise d’EPA à raison d’1 g/jour a été bénéfique de manière significative sur la dépression. L’anxiété, le sommeil et la libido ont aussi été améliorés.

Propos confirmés par le Dr Lespérance, psychiatre au CHUM de Montréal qui l’ explique par le fait que les propriétés anti inflammatoires des oméga3 faciliteraient la transmission d’informations entre les neurones , ce qui aiderait le cerveau à mieux gérer les hormones, donc à agir sur l’humeur.

Les dernières études :

Des chercheurs de l'Inserm et de l'Inra ont découvert que les régimes pauvres en oméga3 pouvaient être responsables de certains troubles de l'humeur comme la dépression. Publiés lundi 31 janvier sur le site Internet de la revue Nature Neuroscience, leurs travaux montrent que des carences en oméga3, des acides gras polyinsaturés essentiels pour l'organisme, pourraient diminuer les fonctions nerveuses associées au "contrôle des comportements émotionnels".

 

Pour parvenir à de tels résultats, les scientifiques ont soumis des souris à un régime alimentaire marqué par un déséquilibre entre acides gras oméga3 et Oméga 6. Résultat : les chercheurs ont observé qu'une carence en oméga3 pouvait perturber la transmission nerveuse dans le cerveau.

Plus précisément, les chercheurs ont démontré que la fonction des récepteurs cannabinoïdes, impliqués dans la transmission nerveuse, était rompue à cause du déséquilibre entre oméga3 et Oméga 6. Les souris "mal nourries" ont ainsi présenté des comportements dépressifs à l'issue de ce régime spécifique.

"Nos résultats viennent corroborer aujourd'hui les études cliniques et épidémiologiques ayant mis en évidence des associations entre un déséquilibre oméga3/Oméga 6 et les troubles de l'humeur. Pour déterminer si les déficits en oméga3 sont responsables de ces désordres neuropsychiatriques, des études complémentaires sont bien sûr nécessaires", expliquent les principaux auteurs de l'étude

Plus encore pour le cerveau des bébés  !

Avant la naissance : La consommation d’oméga3 pendant la grossesse permettrait d’améliorer le développement moteur et cognitif de l’enfant : Une étude québécoise a été faite sur  109 Inuits de l’arctique québécois, pour évaluer  l’impact de la consommation de DHA (un acide gras de la famille des oméga3, que l'on retrouve dans les poissons ou huiles de poissons ), par la mère,  sur différents paramètres de croissance du foetus.

« Les résultats montrent l’importance cruciale d’un apport prénatal en oméga3 pour le développement de l’enfant », déclare un des auteurs de l’étude. « Pendant la formation du système nerveux, le fœtus a de grands besoins en DHA pour construire son cerveau. »  dixit Mme la professeure MUCKLE et le Dr DEWAILLY

Le Dr POULIN, psychiatre et responsable médicale du Programme de psychiatrie périnatale au centre Robert-Giffard : «Vu les effets bénéfiques sur la maman et le bébé,  la prescription d’ oméga3 devrait être systématique, mais les gynécologues n’en prescrivent pas, par peur de la toxicité »

D’où l’importance des contrôles de laboratoires sur l’absence totale de germes faite par le laboratoire travaillant avec Envie, garantissant leur non-toxicité.

De plus, selon les scientifiques de l’université de Maastricht, le DHA protègerait du baby blues.

 

Et après la naissance !  Le  bébé allaité a  son équilibre alimentaire, les oméga3 passant dans le lait maternel. Des études ont montré que la richesse en oméga3 du lait influe directement sur les capacités cognitives (rapport fonctionnement du cerveau) du bébé, et ses performances visuelles.

«Les bébés allaités par des mamans qui ont une supplémentation en oméga3 ont des qualités intellectuelles supérieures encore 20 à 30 ans après « dixit le Dr Servan Schreiber  "Les oméga3 sont essentiels pour les paramètres de croissance  et pour la vision (rétine), les fonctions neuronales et le métabolisme des messagers chimiques du cerveau (qui transmettent les informations)".

Sources : Mme la professeure MUCKLE et le Dr DEWAILLY sont  spécialistes en santé publique à l’université Laval. Livre David SERVAN SCHREIBER « GUERIR »p 148

Et pour le  cerveau des mamans :  Dépression de la femme enceinte,  baby blues :

 

Chez des femmes enceintes qui souffraient de dépression, la prise quotidienne de 4 g d’EPA et de 2 g de DHA a permis d’améliorer les symptômes, au bout de 4 semaines. Au bout de 6 semaines, mis à part l’insomnie et des pensées angoissantes qui survenaient de temps à autre, tout était rentré dans l’ordre.

Une supplémentation en oméga3 pourrait aussi prévenir certaines complications lors de la grossesse (hypertension par ex) ou après la grossesse (dépression « baby blues »), ainsi que réduire  le risque d’accouchement prématuré. Le fœtus ou le bébé allaité recevant en priorité les oméga3 de l’alimentation de la maman, on démontre une carence flagrante chez les femmes enceintes ou qui allaitent.

 

LES OMEGA 3 DANS LES MALADIES INFLAMMATOIRES  ET L’OSSATURE

 

Contrairement à la médecine traditionnelle curative, les oméga3 ne sont pas des pompiers car ils  ne sont pas des médicaments anti-inflammatoires. Ils agiraient plutôt comme des pare feux, en prévention, avant ou au départ de la maladie.  De plus, ils ne présenteraient  aucun effet secondaire.

 

Différents exemples  de maladies inflammatoires :

 

Articulations douloureuses  et  l’ arthrite rhumatoïde :

 

Le principal responsable des syndromes inflammatoires articulaires est l’acide arachidonique (famille des Oméga 6).

Les oméga3 gênent son métabolisme.  Les populations consommant beaucoup de poissons gras (eskimos du Groenland par exemple) ont moins de maladies articulaires que les populations ne consommant que très peu d’oméga3.

 

La solidité des os,  la prévention, dès le plus jeune âge,  pour réduire l’ostéoporose : un problème de santé publique !

Fabrication et solidité de l’os : Les oméga3 réduisent les pertes de calcium par les urines ; Ils favorisent donc  la fixation de la vitamine D , d’où l’importance de l’oméga3 pour  les bébés et enfants en croissance, et aussi en prévention contre  l’ostéoporose

 

L’ostéoporose est effectivement une inflammation osseuse :   L’os se renouvelle toute la vie, par un phénomène d’abrasion des parties les plus vieilles de l’os, et le renouvellement par la construction d’os nouveau, en remplacement. L’ostéoporose arrive quand la destruction est plus importante que la construction.

Les cytokines (comme dans le cerveau), et d’autres médiateurs inflammatoires,  issus d’un nombre trop important d’Oméga 6 favorisent l’ostéoporose en activant les cellules responsables de la destruction osseuse. A l’inverse, les acides gras Oméga3 réduisent la perte osseuse parce qu’ils s’opposent aux cytokines et autres médiateurs inflammatoires. L’acide gras le plus efficace est l’EPA

Des travaux expérimentaux et cliniques indiquent clairement que des régimes supplémentés en oméga3 ont un effet favorable sur le risque de perte osseuse et d’ostéoporose.

Sources : Terano T : Effect of omega-3 polyunsaturated fatty acid ingestion on bone metabolism and osteoporosis. World Rev       Nutr Diet 2001, 88 : 141-147.

Bons pour aider à l’amélioration de l’asthme : en prévention uniquement. L ’importance des modifications alimentaires dans nos pays peu consommateur d’oméga3 est mise en cause, car les grands consommateurs de poissons gras n'en souffrent quasiment pas. De plus en plus de nourrissons sont touchés. Or il est possible de réduire les cas d’asthme chez   les nouveaux nés, en agissant avant la naissance, sur la nutrition de la future maman.   Et pas de risque de surcharge d’oméga3 pour le bébé !  Les  laits maternisés  n’en contiennent pas …

Maladie de Crohn et recto colite hémorragique : Une augmentation de consommation d‘oméga3 pourrait  permettre de réduire la posologie et la durée d’administration des médicaments ;

Le psoriasis : maladie inflammatoire de la peau : les oméga3 amélioreraient l’état des patients rapidement.

 

Sources : Livre de  Dr Michel de Lorgeril et Patricia Salen Editions Alpen « le pouvoir des oméga3 »

 

L’OBESITE

 « Les tests de mesure de la faim et de la plénitude  révèlent que les sujets recevant des doses d’oméga3 ont une sensation de faim inférieure après le repas, et encore 2 heures après » étude sur 230 sujets par les chercheurs espagnols Parra, Ramel, Bandarra, Kiely, Martinez, Thorsdottir.

 

« Les excès d’Oméga 6 et le manque d’oméga3 vont favoriser  les problèmes d’obésité, dès la gestation et la petite enfance ! »

 

Un déséquilibre entre une consommation excessive d'oméga 6 (acide linoléique) et un déficit en oméga3 (acide alpha-linolénique) favoriserait l'obésité transgénérationnelle, selon les résultats d'une étude publiée notamment par des chercheurs du CNRS. Néanmoins  Les chercheurs estiment néanmoins que ces deux acides gras essentiels peuvent se révéler bénéfiques pour la santé, s'ils ne sont pas consommés de façon «déséquilibrée».

Pour parvenir à de telles conclusions, les chercheurs ont soumis quatre générations de souris à un régime alimentaire de type occidental se traduisant par une consommation riche en oméga 6 et pauvre en oméga3. Verdict, les scientifiques ont découvert une augmentation de la masse adipeuse des sujets sur plusieurs générations, mais également des troubles métaboliques notamment responsables du développement du diabète de type 2. Les auteurs de l'étude rappellent que la quantité d'oméga 6 consommée dans les pays industrialisés a augmenté de 250% durant les quatre dernières décennies, alors que la quantité d'oméga3 a chuté de 40%.

 

POUR LES YEUX

Pour la vue : Comme les neurones, les cellules de la rétine sont très riches en acides gras oméga3

 

Cet oméga3 est  présent dans les photorécepteurs de la rétine et  participe  à leur renouvellement et à leur fonctionnement pour une bonne vision.  Toute alimentation nocive pour le cœur et les vaisseaux se répercute défavorablement sur l’œil (graisses saturées etc.. ). Différentes études ont prouvé  que lorsqu’il y a un déficit en oméga3, les troubles visuels sont systématiques.

Sources : 1986 M. Neuringer ;  1992 W  Connos  2001 Sangiovanni

Pour le syndrome des yeux secs

Une étude sur 35 000 personnes a démontré que plus les personnes  étaient déficitaires en oméga3, plus le syndrome des yeux secs était fréquent.

Et pour  la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge)

La DMLA est une altération de la zone centrale de la rétine, la macula, qui nous permet de voir avec précision les détails et les couleurs. Les personnes atteintes de cette maladie conservent une vision périphérique mais elles perdent toute vision centrale, la plus précise, celle qui permet de lire et de reconnaître les visages. En France, plus d’un million et demi de personnes souffrent de DMLA, et il n’existe pas de traitement efficace à ce jour. La prévention reste donc un objectif prioritaire, notamment grâce à de bonnes habitudes alimentaires.

Les études  sont aussi  claires : la consommation d’acides gras oméga3 peut aider  à lutter contre la Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age (DMLA) . Une équipe de chercheurs australiens ont recensé  9 études  sur ce sujet, sur 90 000 personnes ! Et le résultat est formel : les oméga3 étant le constituant majeur de la rétine, une consommation d’oméga3 diminue de 38 % le risque de cette maladie.

Sources : Elaine W-T. Chong, MBBS; Andreas J. Kreis, MD; Tien Y. Wong, MBBS, PhD, FRANZCO; Julie A. Simpson, PhD; Robyn H. Guymer, MBBS, PhD, FRANZCO

Dietary -3 Fatty Acid and Fish Intake in the Primary Prevention of Age-Related Macular Degeneration  A Systematic Review and Meta-analysis  Arch Ophthalmol. 2008;126(6):826-833

  

POUR LA PEAU : Elasticité, fraicheur,  acné, etc…

 

 Exemple sur l’eczéma :

L’eczéma ou dermite atopique,  qui touche 10 à 20 % des enfants , serait due à un retard de développement du système immunitaire et est parmi les premiers signes d’allergie chez les bébés et très jeunes enfants.

Des scientifiques allemands berlinois ont mené une étude en  administrant pendant 8 semaines  plus de 5 g de DHA (acide docosahexaénoïque)  à des personnes souffrant de dermite atopique. Un autre groupe a reçu un placébo.

Le test SCORAD a permis d’établir à la fin de l’étude  que les symptômes s’étaient améliorés de 23 % pour le groupe qui avait reçu l’huile de poisson. Alors que l’autre groupe n’avait pas vu d’amélioration.  A nouveau, l’ oméga3 aurait permis d’améliorer de façon réelle  l’eczéma, car les il y avait une diminution significative des marqueurs de l’inflammation.

C’est  sur les ongles , la peau, et  les cheveux  que vous remarquerez les premiers effets bénéfiques extérieurs de l’oméga3, dès  2 semaines d’utilisation.  Ce sera le signe que les bienfaits à l’extérieur se retrouvent aussi à l’intérieur !

OMEGA 3 ET CANCER

Deux études surprenantes, dès 1990 !

Une étude sur les rats

Dès 1990, l'équipe de chercheurs de l’Inserm de TOURS, dirigée par étudie l’implication de l’alimentation dans la prévention des risques de cancer.

Une tumeur mammaire a été déclenchée chez 78 rats femelle,  au moment de la maturation de leurs glandes mammaires, suite à l’injection un agent cancérigène. ; Deux groupes de rats, alimentés de la même façon ont été divisés, l’un recevant en plus de l’huile de poisson riche en oméga3 DHA, l’autre groupe recevant un placébo (huile de palme).

Lorsque la première tumeur induite chez chaque rat a atteint 1.5 cm 2 (dès 3 semaines), les premières radiothérapies ont débuté, et le nombre de tumeurs, les tailles, la position ont été enregistrées. Les chercheurs ont constaté, dès 12 jours de traitement par radiothérapie,  que chez le groupe « oméga3 » il y avait   une diminution de 60 % de la taille des tumeurs, alors que dans le groupe témoin (huile de palme), elles n’avaient diminué que de 31 % !

Une meilleure réaction face à la radiothérapie, grâce aux oméga3 ?   Oui, mais , quand  on sait que des prédispositions génétiques peuvent  entrer aussi en ligne de compte chez la femme, l’alimentation joue-t-elle un rôle ?

Cancer du sein

Les chercheurs ont donc analysé les tissus adipeux de la femme, et sont arrivés à la même conclusion. : Il y avait en quantité plus importante dans le tissu adipeux (graisse)  des oméga3, surtout du DHA . Ce fameux DHA est déjà  présenté par les scientifiques comme  protecteur en prévention du  cancer du sein.  Et les femmes ayant dans leur tissu adipeux, un taux très faible  d’oméga3DHA , ont des tumeurs mammaires résistantes à la radiothérapie ou à la chimiothérapie !

En plus de son action de protection, l’oméga3 DHA permettrait donc  aux tumeurs d’être plus sensibles aux thérapies, radiothérapie ou chimiothérapie.

 

Une étude sur les messieurs, par rapport au cancer de la prostate

Des chercheurs américains ont mené une étude sur 47 000 hommes, pendant 12 ans. Le résultat est clair : une complémentation en huile de poisson oméga3 a permis de diminuer le risque de développer le cancer de la prostate.

Ces expériences et ces espoirs pour les hommes et les femmes, nous amène quand même à réfléchir sur l’effet de l’alimentation et notamment des oméga3 sur notre santé ! Hippocrate avait raison !  (Il  a dit « la santé vient de nos assiettes »)

Malheureusement, nous ne pouvons pas généraliser sur tous les cancers : certaines études sont contradictoires, et d’autres pas suffisamment probantes. Donc, en aucun nous n'encourageons nos patients(es) à arrêter leur traitement, quelque soit d'ailleurs leur pathologie !! Les oméga3 restent un complément alimentaire, et à eux seuls, ne font pas de miracles ! Une alimentation équilibrée est nécessaire, ainsi que des fruits et légumes, , sans oublier que la pratique sportive est bonne pour la santé !

MALADIE DE PARKINSON

La maladie de Parkinson : générée par la dégénérescence de certains neurones impliqués dans la coordination des muscles et dans les mouvements. 4 millions de patients sont répertoriés  dans le  le monde d’après l’OMS.

Des chercheurs canadiens dirigés par F. CALON,  de l’université de Laval, ont réalisé des expériences sur des souris, chez lesquelles ils ont introduit  les symptômes de Parkinson. Ils ont  mis en évidence que les souris nourries aux oméga3 résistent à la toxicité du produit injecté, censé provoquer cette maladie.

Les chercheurs ont démontré qu’il y aurait un effet protecteur des oméga3, probablement grâce au DHA. « Un cerveau riche en Oméga 6 serait donc plus vulnérable qu’un cerveau riche en Oméga  3 »,  dixit le  scientifique :  « N’oublions pas que l’alimentation moderne fournit 20 fois plus d’Oméga 6 que d’oméga3, alors que le ratio devrait être de 4/1 »  et il continue  « Nos résultats suggèrent que le manque de DHA est un facteur de risque de développer une maladie de Parkinson, et que nous devrions évaluer la capacité des oméga3 à prévenir et à traiter cette maladie. » F CALON  avril 2008

LES OMEGA 3 POUR AUGMENTER LA MASSE MUSCULAIRE

Lors de pratiques sportives intenses, ou pour les victimes de cachexie (état de dénutrition important induisant une perte de poids et perte musculaire importante), les contraintes imposées aux muscles lors de l’effort physique, vont provoquer un micro-traumatisme au niveau des fibres musculaires.

L’oméga3 permet de baisser les cytokines (marqueurs inflammatoires, encore plus efficace lors d’oméga 6 en sur nombre) , et permet ainsi de préserver le muscle qui pourra ainsi se reconstruire plus facilement et se renforcer.

PRESERVER VOS INTESTINS

Une étude anglaise prétend que ceux qui consomment beaucoup d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 ont plus de risque de souffrir d’inflammation du colon ( colite ulcéreuse) . Limitez donc votre consommation d’Oméga 6 pour une bonne santé intestinale!.A l’inverse la consommation    d’ oméga3 permettrait de diminuer le risque de souffrir de cette maladie.

200 000 personnes ont fait l’objet d’analyses par le Dr  A. Hart  de l’université d’East Anglia . Ces chercheurs ont mesuré la consommation en acides gras polyinsaturés oméga3 et Oméga 6 de ces 200 000 personnes sur 4 ans.

Résultat : presque 130 personnes ont déclaré une colite ulcéreuse. Statistiquement, ces personnes avaient une consommation très importante d’aliments riches en Oméga 6 (huiles et margarines au tournesol, viande, céréales…)

Double conclusion : Les plus gros consommateurs d’Oméga 6 auraient deux fois plus de risque de souffrir de cette inflammation du côlon. Et la consommation importante d’oméga3 permettait de diminuer le risque de cette maladie  de 77 %

Pour préserver votre santé intestinale misez sur les meilleures sources d’oméga3 : les poissons gras, à condition qu’ils soient très peu cuits ! Vous pouvez consommer aussi de l’huile de colza, de lin ou de soja ou encore les noix, en sachant que ceux–ci apportent de l’ALA, oméga3 végétal, mais que seulement 1 à 5 % est réellement utilisable par le corps ! Donc, si vous vous limitez à l’oméga3 végétal, consommez en une quantité très très importante !

CONCLUSION : Vous êtes maitre de votre bien-être

5 raisons pour consommer des compléments alimentaires oméga3 ENVIE :

1. Notre corps sera demain ce que nous mangeons aujourd’hui. C’est une évidence, d’où l’intérêt d’équilibrer son alimentation (sans oublier de faire du sport !) voir le site www.mangerbouger.fr et de suivre les conseils d’Hippocrate « la santé vient de vos assiettes »

2. Nous sommes tous carencés en oméga3 : Un rapport récent de l’ANES  prétend que « les apports moyens d’oméga3 issus de notre consommation habituelle sont dans le meilleur des cas un tiers seulement de nos besoins ! »
 
3. Pour rééquilibrer le déficit, il faudrait manger du poisson gras, plusieurs fois par semaine, et de préférence, cru ou très peu cuit, pour ne pas détruire les oméga3 , sensibles à l’oxydation.  Attention aussi au poisson congelé : 4 mois après , il ne contient quasiment plus d' oméga3 !)  Et  il faudrait aussi diminuer de façon considérable la quantité d’Oméga 6 que nous retrouvons obligatoirement dans l’alimentation industrielle .


4. La forme d’oméga3 ALA, végétale, est nécessaire à la santé en tant que telle ; Cependant, elle n’est pas suffisante pour apporte le taux de DHA et EPA nécessaires également, car l’ALA demande une transformation par le corps avant d’être transformé en DHA et DPA,  seulement 1 à 5 % (selon les chercheurs) est réellement transformée.

5. L’ ANES confirme que les poissons d’élevage que l’on retrouve sur les étals contiennent  moins d’oméga3 que les poissons sauvages » que « les huiles riches en oméga3 ne supportent pas la friture ou le chauffage intense… »

Les capsules oméga3 peuvent être une alternative simple, rapide, efficace et économique au déficit prouvé en oméga3, et vous apportent le DHA et l’EPA assimilable directement.

Nos capsules sont les meilleures, et nous allons vous le prouver :

COMMENT CHOISIR VOTRE COMPLEMENT ALIMENTAIRE,  ET POURQUOI

 

1. Privilégiez les produits français, une garantie de qualité, car ils sont déclarés.  C’est le cas des capsules  Biothalassol ou Naturège ENVIE, , et ayant fait l’objet d’une déclaration à l’afssa (agence française de sécurité sanitaire des aliments).

2. Comparez la composition, car il existe des oméga3 sous la forme de molécules chimiques, fabriqués à l’aide d’éthanol, ce sont des "esters éthyliques", moins chers à la fabrication, mais dont la bio-disponibilité est moindre (absorption réduite par les intestins) Ou vous préférerez les gélules ENVIE, sous la forme de triglycérides, c’est-à dire  des oméga3 naturels, comme si vous consommiez du poisson cru, mais sans les inconvénients 

3. Comparez aussi  la concentration en oméga3 que contient la capsule (ENVIE : 65 %). Calculez ainsi le nombre de capsules nécessaires à consommer tous les jours pour avoir 1 g  d’oméga3  et forcément comparez le prix journalier !

4. Regardez aussi le ratio entre l’EPA et le DHA Celui que nous avons retenu pour nos capsules EPA DHA Naturège est celui qui a obtenu les meilleurs résultats lors des études scientifiques pour le bien-être général.

5. Vérifiez de quoi est composé l’enrobage, préférez vous la gélatine à base de porc et de bœuf, ou  celle composée de poisson et de plantes  (comme ENVIE)

6. Faites attention aussi à la purification et à la stabilisation de l’huile. Rien de plus désagréable que les relents de poisson, ou même dangereux comme une huile rancie !

 

EN CURE OU EN CONSOMMATION JOURNALIERE ?

Vous mangez tous les jours ? Donc, tous les jours vous consommez trop d’Oméga 6, rééquilibrez !